15/02/2012
L'Athénée
Titre : L'Athénée / Chronique d'une nostalgie
écrivain : Raul Pompéia
éditions Ombres (Toulouse), 1989
Roman traduit du portugais (Brésil) par Françoise Duprat et Luiz Dantas
Titre orginial : O Ateneu (1888)
acheté chez Gibert (Paris, bd Saint-Michel) par édith, le 26 janvier 2012
première phrase : "Tu vas affronter le monde, me dit mon père, à la porte de l'Athénée. Courage pour la lutte".
Première phrase de la page 30 : "Le reste, une clique indistincte, les assoupis des derniers bancs, confondus dans l'ombre paresseuse du fond de la salle".
dernière phrase : "Purs souvenirs, nostalgie peut-être, si nous considérons que le temps est le lieu transitoire des événements, mais surtout - le tombeau des heures, pour toujours".
Rio de Janeiro, mars 1888
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03/02/2012
Une femme douce
Titre : Une femme douce (Titre original : Krotkaïa)
Auteur : Fiodor Dostoëvski)
Illustrateur :
Traducteur : Boris de Schloezer et Jacques Schiffrin en 1929 à la Pléïade
Editeur : Editions Ombres, Toulouse
Genre : Roman ou nouvelle
Eléments de signalement :
Date de parution : 1876, puis en France, 1929 puis 1987
Date de cette édition : 2006
Pays de l'auteur : Russie
Nombre de pages : 92
Format : 12 X 17
Censure :
Dédicace :
Arrivée dans la bibliothèque : 31 décembre 2010
Première phrase :
Première phrase de la page 30 :
Dernière phrase :
COMMENTAIRE
Titre : Une femme douce (Titre original : Krotkaïa)
Auteur : Fiodor Dostoïevski
Illustrateur :
Traducteur : Boris de Schloezer et Jacques Schiffrin en 1929 à la Pléïade
Genre : Roman ou nouvelle
Éléments de signalement :
Date de parution : 1876 puis en France en 1929 puis 1987
Date de cette édition : 2006
Pays de l'auteur : Russie
Nombre de pages : 92
Format : 12 X 17
Censure :
Dédicace :
Arrivée dans la bibliothèque : 31 décembre 2010
Commentaire
Extrait
20:35 Publié dans Littérature XIX° | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : une femme douce, fiodor dostoïevski, editions ombres blanches | Facebook |
29/01/2012
Tolstoï ou Dostoïevski
Titre : Tolstoï ou Dostoïevski
Auteur : George Steiner
Editions 10/18 (3735)
Edition originale 1959
Celle-ci : 2004
Traduit de l'anglais par Rose Celli
Signalement : "Malgré tous ses efforts, l'éditeur n'a pu retrouver la trace de Mme Rose Celli, traductrice, ni de ses ayants droits. Ils sont invités à le contacter".
Dédicace : In memoriam Humphry House
Première phrase : "La critique littéraire devrait naître d'une dette d'amour".
Première phrase de la page 30 : "L'ambition conquérante de Balzac a son parallèle moderne : comté de Yoknapatawpha, "seul propriétaire, William Faulkner"".
Dernière phrase : "S'il avait ouvert le livre au fameux chapitre XII du livre II, au moment où il se tournait enfin au calme des ténèbres, Tolstoï y aurait trouvé un jugement propre à lui-même non moins qu'à Dostoïevski :
"C'est un grand ouvrier de miracles que l'esprit humain...""
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12/10/2011
Faust I et II
Titre : Faust I et II
Auteur : Johann Wolfgang von Goethe
Éditeur : Garnier Flammarion
Traducteur : Jean Malaplate
Genre : littérature
Éléments de signalement : Préface et notes de Bernard Lortholary
Date de parution : 1984 Le livre est paru en 1808 (Faust I) et 1832 (Faust II)
Date de cette édition : Avril 2010
Pays de l'auteur : Allemagne
Nombre de pages : 556
Format : 11 X 18
Qui flattiez autrefois mon incertain regard."
À la réalisation !
Abandonnez les paraboles
Et montrez-nous de l'action"
Dernière phrase :
"Toute chose périssable
Est un symbole seulement,
L'imparfait, l'irréalisable
Ici devient événement ;
Ce que l'on ne pouvait décrire
Ici s'accomplit enfin
Et l'Eternel Féminin
Toujours plus haut nous attire.
FINIS ".
Commentaire : Très belle traduction pour ce Faust. Le traducteur l'a faite en vers, et a suivi au plus près le texte allemand. C'est très agréable car on a le sentiment d'être au coeur du texte. Voici la traduction de Gérard de Nerval qui écrit le texte dans un beau français onctueux assez loin de l'âpreté du style allemand.
Traduction par Jean Malaplate :
Gar treu bis an das Grab,
Dem sterbend seine Buhle
einen goldnen Becher gab."
13:00 Publié dans Littérature XIX° | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
06/10/2011
Cinq-Mars ou une conjuration sous Louis XIII
Titre : Cinq-Mars ou une conjuration sous Louis XIII
Auteur : Alfred de Vigny
Calmann-Lévy Editeurs. Nouvelle collection illustrée. Date inconnue (écrit en 1826)
Illustrations de Paul Destez
Première phrase : "Connaissez-vous cette contrée que l'on a surnommée le jardin de la France, ce pays où l'on respire un air si pure dans les plaines verdoyantes arrosées par un grand fleuve ?"
Première phrase de la page 30 : "On aurait pu se croire près de l'antre d'un forgeron ; mais les coups étaient sourds et faisaient bien sentir que l'enclume était le corps d'un homme".
Dernière phrase : "Il se nomme Cromwell".
Portraits de l'auteur et de son héros :
Alfred de Vigny
Henri Coiffier de Ruzé, marquis de Cinq-Mars, né en 1620 et exécuté le 12 septembre 1642 :
22:36 Publié dans Histoire, Littérature XIX° | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinq-mars, alfred de vigny, cromwell, louis xiii, conjuration, calmann-lévy | Facebook |
04/10/2011
Sans famille
Titre : Sans famille
Auteur : Hector Malot
Illustrateur : É Bayard
Éditeur : Hachette, collection Grandes Oeuvres, 1978 (première édition : 1880)
Dédicace :
"À Lucie Malot
Pendant que j'ai écrit ce livre, j'ai constamment pensé à toi, mon enfant, et ton nom m'est venu à chaque instant sur les lèvres. - Lucie sentira-t-elle cela ? - Lucie prendra-t-elle intérêt à cela ? - Lucie, toujours. Ton nom, prononcé si souvent, doit donc être inscrit en tête de ces pages : je ne sais la fortune qui leur est réservée, mais quelle qu'elle soit, elles m'auront donné des plaisirs qui valent tous les succès - la satisfaction de penser que tu peux les lire -, la joie de te les offrir.
Hector Malot"
Première phrase : "Je suis un enfant trouvé".
Première phrase de la page 30 "-Si vous le sentiez capable de travailler, vous ne voudriez pas le renvoyer".
Dernière phrase : "Une page manque à mon manuscrit, c'est celle qui doit contenir ma chanson napolitaine ; Mattia, meilleur musicien que moi, écrit cette chanson, et la voici :" (Suit une partition.)
Nombre de pages : 506
Provenance : offert par Ségolène à Édith à Noël, en 1985
19:54 Publié dans Enfance, Littérature XIX° | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sans famille, hector malot, lucie malot, grandes oeuvres, hachette, 1880, dédicace, É bayard | Facebook |
27/09/2011
Le siège de La Rochelle ou le malheur et la conscience
Titre : Le siège de La Rochelle ou le malheur et la conscience
Auteur : Madame de Genlis
Éditeur : Passard, Libraire - éditeurGenre : Album
Éléments de signalement : Collection "petite encyclopédie récréative". "Epître dédicatoire à madame Pauline Brady"
Date de parution : 1808
Date de cette édition : 1852
Pays de l'auteur : France
Nombre de pages : 504
Format : 7 X 11
Arrivée dans la bibliothèque : 2011, vient de La Grostière (ce qui m'étonne car Madame de Genlis était orléaniste)
Commentaire
Roman palpitant. Le héros, Valmore, veuf avec un enfant, doit se remarier avec une jeue femme qu'il aime. Drame, celle-ci est accusée d'avoir tué l'enfant. Elle ne se défend pas. Elle va monter à l'échafaud pour être guillotinée.
L'auteur aurait fait une parfaite scénariste pour Hollywood. On lit le roman avec passion, alors même que les sentiments et la morale qu'elle met en avant ne sont plus du tout à la mode.
Première phrase : "Au déclin du plus beau jour d'un été brûlant, le jeune et vertueux Valmore, et sa respectable soeur, fatigués d'une longue promenade dans les champs, s'arrêtèrent sur le bord d'une prairie ; Valmore tenait par la main le petit Jules, son enfant ; il lui permit d'aller cueillir des fleurs.
Première phrase de la page 30 : "Une irresistible pitié, le souvenir desespérant de son amour, celui de l'horrible catastrophe qui exitait en lui tous les transports violents d'une haine implacable, tous ces mouvements contraires déchiraient, bouleversaient son âme..."
Dernière phrase : "Elle posséda toute la tendresse et toute la confiance de son époux, et elle ne fit pas une seule faute, parce que, toujours guidée par la piété, et toujours humble, elle n'eut jamais de présomption."
21:21 Publié dans Littérature XIX° | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |