12/10/2011
Faust I et II
Titre : Faust I et II
Auteur : Johann Wolfgang von Goethe
Éditeur : Garnier Flammarion
Traducteur : Jean Malaplate
Genre : littérature
Éléments de signalement : Préface et notes de Bernard Lortholary
Date de parution : 1984 Le livre est paru en 1808 (Faust I) et 1832 (Faust II)
Date de cette édition : Avril 2010
Pays de l'auteur : Allemagne
Nombre de pages : 556
Format : 11 X 18
Arrivée dans la bibliothèque : Eté 2011
Première Phrase :
"Ainsi vous revenez, silhouettes furtives
Qui flattiez autrefois mon incertain regard."
Qui flattiez autrefois mon incertain regard."
Page 30, première phrase :
"À présent, trêves de paroles ;
À la réalisation !
Abandonnez les paraboles
Et montrez-nous de l'action"
À la réalisation !
Abandonnez les paraboles
Et montrez-nous de l'action"
Dernière phrase :
"Toute chose périssable
Est un symbole seulement,
L'imparfait, l'irréalisable
Ici devient événement ;
Ce que l'on ne pouvait décrire
Ici s'accomplit enfin
Et l'Eternel Féminin
Toujours plus haut nous attire.
FINIS ".
Commentaire : Très belle traduction pour ce Faust. Le traducteur l'a faite en vers, et a suivi au plus près le texte allemand. C'est très agréable car on a le sentiment d'être au coeur du texte. Voici la traduction de Gérard de Nerval qui écrit le texte dans un beau français onctueux assez loin de l'âpreté du style allemand.
Voic un exemple :
Traduction par Gérard de Nerval :
"Il était un roi de Thulé
À qui son amante fidèle
Légua, comme souvenir d'elle
Une coupe d'or ciselé".
Traduction par Jean Malaplate :
"Un roi de Thulé fut fidèle
Fidèle jusque dans la mort.
Il avait reçu de sa belle,
Expirante, une coupe d'or.
Le texte de Goethe :
"Es war ein König in Thule
Gar treu bis an das Grab,
Dem sterbend seine Buhle
einen goldnen Becher gab."
Gar treu bis an das Grab,
Dem sterbend seine Buhle
einen goldnen Becher gab."
Traduction plus littérale d'Édith :
"Il était un roi de Thulé
Fidèle jusqu'au tombeau
À qui sa belle expirante
Avait donné une coupe doré
édith à un an
13:00 Publié dans Littérature XIX° | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Les commentaires sont fermés.