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11/04/2012

Guerre de la Vendée et des Chouans

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Titre :
Guerre de la Vendée et des Chouans

Sous-titre :
Un terroriste dénonce la terreur

Auteur :
Joseph Lequinio

Edition critique par Jean Artarit

Editions du Centre vendéen de recherches historiques - 2012

Collection "Mémoire de Vendée"

Illustrations de couverture et quatrième de couverture :
"Lequinio brûle la cervelle à un prisonnier", gravure, d'après un dessin du temps & gravure d'un portrait de Lequinio

255 pages

 Première phrase "La Convention a décrété, le 8 vendémiaire présent, l'impression de la correspondance des représentants avec le Comité de salut public sur la guerre de la Vendée".

Première phrase de la page 140 : "L'armée qui avait investi le village et qui s'était portée dans les villages voisins, s'étaient emparée de plusieurs habitants".

Dernière phrase : "Elle me dit que, dans pareil cas, il faudrait agir encore de même".

Texte de la quatrième de couverture :

"En ce premier avril 1794, en pleine Terreur, un homme fait face à Robespierre et au tout-puissant Comité de salut public. C'est Lequinio, un député qui ne leur passe rien de la "barbarie la pus outrée" alors déchaînée contre la Vendée : depuis les femmes et les filles de patriotes violées par des soldats de la République, jusqu'aux nourrissons qu'ils promènent au bout de leurs baïonnettes.

Dans ce même rapport pourtant, Lequinio envisage froidement l'extermination de ce qui reste de la population vendéenne. Et c'est lui qui a, de sa propre main, abattu un Vendéen dans la prison de Fontenay, puis y a créé une Commission militaire particulièrement sanguinaire.

Jean Artarit ne nous offre pas seulement ici la première édition critique de ce texte fondamental. Il nous dévoile les ressorts intimes d'un homme dont le père a été jadis tué à coups de pierres par des paysannes. L'extermination de 400 000 personnes, pourquoi pas, ajoute le terroriste dans son livre paru le 22 octobre 1794, mais alors sans cruauté, avec compassion même, pour éviter "la souillure des remords".

On peut lire un extrait de ce livre, où Joseph Lequinio insiste pour exterminer les Vendéens "avec compassion et pitié"